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Les mémoires d'une ânesse

17 octobre 2010

Quand le bordel a décidé de s'installer...

...Eh bien il s'installe correctement.

Jusqu'ici tout allait plutôt pas mal. Disons que les choses étaient relativement sous contrôle : le bordel restait concentré de mon côté, Paulo se contentait de disposer.

Mais aujourd'hui, puisque mon bordel personnel ne suffisait visiblement pas, Paulo a pris l'initiative d'en rajouter un peu en croyant bon (ou en ne croyant rien du tout d'ailleurs) d'introduire dans son discours d'ordinaire détacho/sympatoche des bribes de "sentiments".

Alors bien sûr, on est encore loin de la déclaration en bonne et due forme. Mais les comportements suspects se multiplient, de même que les allusions doucereuses. Je vous l'accorde, il faut tendre l'oreille et se concentrer fortement pour saisir ces messages nouveaux. Mais quoi qu'il en soit, Paulo n'est pas un romantique, Paulo n'a pas la parole percutante facile. Alors forcément, c'est toujours pas franc du collier mais ça se remarque quand même quand il se laisse aller à tenter de dire sans dire que plus le temps passe plus il se demande pourquoi ça lui fait "ça" quand je suis là.

Je serais bien tentée de lui répondre un truc du genre : "t'as voulu te marier, t'as voulu avoir un gosse, quelques années plus tard tu prends conscience qu'en réalité tu voulais tout sauf ça. Une meuf pas trop moche, pas trop sotte et surtout suffisamment seule pour t'accorder de son temps se pointe dans ta vie et t'apporte tout ce que tu n'as plus depuis quelques années. Un hamster aurait pu en faire autant. Sauf que c'est sur ma gueule que c'est tombé. Je suis ton hamster et tu es mon bourreau. La belle affaire.. Mais pas d'affolement Paulo, tu sais aussi bien que moi que tu ceci va s'évaporer aussi vite que c'est venu. Tu sais aussi bien que moi que, malgré ce que tu dis, il est fort peu probable que tu saisisses tes couilles à deux mains et que tu envoies péter cette situation qui t'est si inconfortable"

Et quand bien même Paulo le ferait... ça lui ferait une bien belle jambe car le hamster se sera sûrement barré de sa cage à ce moment là. Et oui, le hamster aura eu fin nez et se sera enfin décidé à partir loin, très loin. "Humm mais pourquoi?" me direz-vous.... pourquoi si près du but? Et bien tout simplement car je lis en Paulo comme dans un livre presque complètement ouvert et mes deux couilles à couper qu'il ne sera jamais un "petit mari" exemplaire. Alors n'être qu'une seconde édition du mariage raté de Paulo, très peu pour le hamster... Mange du crabe....

Bien, prochaine étape? Bonne question. Disons que comme prévu, même s'il y a d'énormes variations dans le bordel, le trend général est à la baisse en ce qui concerne mon niveau d'intérêt pour Paulo.

Pourquoi? Et bien tenez-vous m'sieurs dames, c'est ici que je vais contredire tout ce que j'ai dit plus haut. Pourquoi, tout simplement parce qu'il me manque quelque chose d'essentiel dans tout ce bazar : du respect, de l'exclusivité, et toujours cette putain de "place différente". Et puis j'en ai marre d'écouter Elvis en chialant tous les soirs... ça a alimenté et comblé mes fixations masochistes jusqu'à présent mais pour tout dire, ça commence à m'épuiser. Et puis j'en ai marre d'avoir droit qu'à des bribes à la con. Aussi paradoxal que cela puisse sembler (j'avais prévenu...), j'ai envie de le voir tout le temps et ça me saoule de pas pouvoir lui dire clairement, de peur qu'il se dise "oh non, encore une passeuse de corde".

Bref, tout ceci est extraordinairement malsain et doit cesser au plus vite.

J'y travaille, affaire à suivre de très près.....

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11 octobre 2010

On avance... ou pas d'ailleurs

 

Que dire.....

Eh bien, de prime abord, ça va mieux. Il semblerait qu'Orthense retombe légèrement sur terre.

Je dis bien il SEMBLERAIT. Effectivement, ce n'est pas encore vraiment franc. Mais on progresse.

Après le trou noir de la semaine dernière, j'ai un peu calmé mes ardeurs et les espèces de rejetons de sentiments qui commençaient à m'envahir.

Alors maintenant, place à la période de stagnation. Stagnation entretenue par divers facteurs :

- Je suis en passe de faire une croix définitive sur l'éventualité que Paulo lui-même ait de quelconques sentiments pour moi. Effectivement, Orthense, mon petit, au cas où tu l'aurais oublié, Paulo est marié. Paulo a une vie et ce très cher Paulo ne s'en défera JAMAIS. Tant de confort, tant d'investissements en tous genres, tant d'attaches, bref... n'y pense même pas.

- Mais vous me direz : qu'ont toutes ces choses à voir avec les sentiments? En effet, il est possible de réunir tous ces critères et de voir naître des sentiments pour une personne autre que Cunégonde. Oui mais voilà, lorsque nous sommes ensemble, Paulo ne pense qu'au cul. Je pense que c'est suffisant pour témoigner de l'absence totale de sentiments. A cela j'ajouterais cependant que dès que Paulo me sent légèrement filer, il me déballe le sempiternel : "oui mais, j'avoue que c'est perturbant car je n'ai jamais ressenti cela auparavant. Oui, j'ai sauté un demi-m illiard de gonzesses et un autre demi-milliard reste à venir mais je te jure, je suis perturbé par ce qui se passe entre nous". Ah ouais? Ba ça me ferait mal l'ami...

- Par ailleurs, la stagnation se fait sentir du fait que finalement, nous avons bientôt fait le tour de toutes les "nouvelles choses" rendues possibles par une nouvelle "relation". Il est venu chez moi, je suis allée chez lui, on est sortis, on est allé bouffer, bref voilà. Reste plus trop de grandes découvertes (avant de passer aux choses fort moins réjouissantes pour le Paulo de base : découverte de la famille, des passions, du passé etc. Bref tout le bordel inhérent à une relation autre que purement sexuelle : Oh NON mon dieu... hors de question! J'ai déjà assez d'une bonne femme, je vais pas m'encombrer d'une deuxième...)

- Et puis finalement, je parlais pour moi dans les paragraphes précédents mais, c'est tout à fait la même chose pour Paulo. Il m'a sautée quelques fois, il va bien finir par se lasser et finir par retourner auprès de Cunégonde car en effet, c'est elle qui fait à bouffer tous les soirs et lave son petit linge toutes les semaines. Ce serait beaucoup plus embêtant de perdre ceci plutôt qu'un cul car il faut bien l'avouer, des culs, il y en a plein les rues.

Bref, je dois tout de même avouer que trainassent encore quelques relents de sentiments à la gomme. Mais je vous promets, ça s'estompe.

Reste alors à venir le moment le plus critique: qui dira en premier à l'autre qu'il en a marre? Moi peut-être? Lorsque j'aurais rencontré quelqu'un d'autre et/ou épuisé ce qui me reste d'amour propre? Ou lui... lorsque par un éclair de génie, il sera aperçu qu'il fait souffrir sa pauvre Cunégonde et/ou lorsque cette dernière aura décidé d'accepter le pot aux roses et de lui poser un ultimatum?

Affaire à suivre.......

 

 

3 octobre 2010

On est mal, on est mal, on est mal...

Oui, en effet, on est mal mal mal...

Retour en arrière de quelques jours : après moult réflexion supplémentaire, je me suis enfin décidée la semaine dernière à renvoyer Paulo d'où il vient, de façon à éviter qu'il ne fasse du hachis avec mon petit coeur fragile.

Plan d'action choisi : puisqu'il ne se doutait de rien, il s'agissait de l'attirer chez moi, un endroit calme propice à la discussion, afin de lui exposer le détail de ma décision. Je comptais en effet lui expliquer que notre histoire ne mènerait à rien, et que quelques instants de plaisir ne me suffisaient pas car comme le dit si bien Elodie F., "je veux cette place différente".

Apéro, resto, et retour précipité à la maison car je cogitais tellement que le repas a fini par tourner en jus de boudin. Il fallait partir vite, je ne pouvais plus attendre de lui parler.

Et me voici face à ce moment pour lequel j'aurais donné père et mère si cela aurait pu permettre de le repousser de quelques jours, quelques semaines, quelques mois même...

Première déception : aucune résistance... pas l'ombre d'un petit sentiment montrant le bout de son nez dans ce moment pourtant si poignant, bordel. Pour être plus exacte, j'ai vécu en temps réel le concept de l'arroseur arrosé : dans le but de préserver ma dignité mais également pourquoi pas de susciter chez lui le désir consécutif à une expérience de rejet, j'ai pris le parti de la jouer "à la dure". En substance, ça donnait : "On ne peut pas continuer comme ça, cela ne nous mènera nulle part et de toute façon, ce n'est qu'une histoire de fesse, rien ne nous attache vraiment etc" (tout ceci agrémenté d'une bouche ultra crispée, surmontée d'un regard outrageusement dur et fixant l'horizon au loin).

Rien... que dalle... nada... nema...NIET. Enfin je crois... Oui, il s'est bien fendu d'un "Mais tu es quand même d'accord qu'il y avait quelque chose de spécial entre nous?". J'aurais pu y croire mais j'ai choisi de l'interpréter comme tout le reste, à savoir comme les paroles d'un type qui vraisemblablement ressent quelque chose d'indéterminé mais qui pourtant, n'utilisera jamais sa paire de couilles pour en faire quelque chose de moins nébuleux (et c'est bien légitime lorsque l'on est marié et que l'on a un morveux).

Il s'est passé un relativement long moment avant qu'il ne s'en aille. En effet, ni lui ni moi n'en avions envie car s'il partait, cela signifierait que toute cette histoire appartiendrait désormais au passé.

Une fois qu'il eut passé le pas de la porte, j'ai compté... vous savez, façon Pierre Richard dans Les Fugitifs. Au bout d'un moment, j'ai du me rendre à l'évidence: il ne reviendrait pas. C'est là que ma faiblesse légendaire est ENCORE intervenue: je lui ai envoyé par sms un merveilleux et dégoulinant "mais reviens...!". Sans succès aucun... enfin, tout dépend de comment l'on interprète "C'est bien pénible comme il le faut. Mais tu as raison sur tout la ligne". Personnellement, ceci ne m'a guère inspiré autre chose qu'un "va bien te faire foutre connard" (que je n'ai par ailleurs pas eu les couilles d'envoyer par sms car j'ai jugé plus utile de remplacer par un "Tu as raison, bonne route." Notez le point final qui en dit long dans un sms).

Je pense que la nuit et la journée qui ont suivi ont été les pires que j'ai eues depuis fort longtemps. En réalité, de mémoire d'Orthense Pélican je ne me souviens pas avoir déjà eu aussi mal.

Résumons: je me fais utiliser comme une grosse merde, j'ouvre mon esprit et me confonds en explications pourtant tout à fait louables d'intelligence et de raison et je n'obtiens que de la brave merde en échange, MAIS je trouve quand même encore le moyen d'être on ne peut plus profondément meurtrie par la perspective de ne plus jamais revoir Paulo.

Si quelqu'un dans l'assistance possède une explication à ce merdier, qu'il ou elle s'avance...

Mais attendez.... ce n'est pas fini...

Ce fameux lendemain où je broyais du noir plus que jamais, nous avons échangé quelques sms desquels il s'est dégagé une volonté commune (bien qu'initiée par moi - note pour plus tard : élément à prendre en compte, le salopard se laisse faire mais ne démontre jamais d'initiative spécifique à mon égard. Il aurait du me supplier PUTAIN), bref, une volonté plus ou moins commune de conserver des rapports "en tout bien tout honneur".

Ni une ni deux, je file dans son putain de bureau pour boire un café (oui, on bosse ensemble, j'avais peut-être oublié ce savoureux détail...). Avec ma gueule de la fille qui à chialé non stop depuis 7h du mat', je me retrouve donc devant lui. Et putain, 15 minutes après, le voilà entrain de m'embrasser et de me proposer d'aller manger à midi... et moi de me laisser faire et d'accepter sa proposition....

Échec, nulle, lamentable, aucune volonté, aucune détermination, aucun AMOUR PROPRE. Nous y revoilà donc.

Là dessus, stupide et malléable jusqu'à l'os, je lui propose de sortir le soir. MAIS A QUOI JE PENSAIS PUTAIN?!

Nous nous sommes vus le lendemain. Il m'a proposé de venir chez moi (ce qui en dit par ailleurs long sur l'idée qu'il s'était faite de la manière dont nous allions passer la soirée : discussion, oui, peut-être, s'il reste du temps après le reste...).

Nous avons passé une super soirée... et puis, tôt le matin, Paulo est rentré chez sa femme.

Aujourd'hui, dimanche, lendemain d'hier, RIEN. Pas de nouvelles, pas un petit sms, rien. Zobi. Il a tiré son coup et s'en est allé, triomphant, se disant que peut-être il y aura une prochaine fois mais que, dans le cas contraire, ce ne sera pas si grave puisqu'il a une vie, lui......

26 septembre 2010

La fin des haricots

Qu'est-ce qui peut pousser une personne à laisser tomber (ou tout du moins mettre de côté) des valeurs sûres au profit d'un sombre connard?

La sottise me direz-vous, peut-être ajouterez-vous le cul?... Si seulement c'était ça... 

Moi la première, je fais partie des gens qui vous rappelleront avec conviction que négliger ses amis et sa famille est la pire erreur que l'on puisse commettre. 

Et pourtant, avec une aisance digne de la meilleure Madame "faites ce que je dis et pas ce que je fais", je me rends compte que cela fait maintenant plusieurs jours que je fais N'IMPORTE QUOI.

"Es-tu sûre que tu ne dramatises pas un peu?"... Oui... j'en suis absolument sûre. Quoi que non en fait. En réalité j'aimerais que quelqu'un me dise que finalement, je fais bien ce que je veux et que les autres ne m'attendent que rarement pour en faire autant. 

Alors quoi, où est le problème? Ou plutôt, où SONT les problèmes? Tentons de structurer tout ça :

- Problème n°1 : Je suis infoutue de trouver quelqu'un de bien.

- Problème n°2 : Si, j'avais trouvé, mais c'était pas possible...

- Problème n°3 : Pour le dernier en date, j'ai mis le paquet : après en avoir terminé avec un vieux divorcé avec une gamine, je me suis attaquée à un vieux MARIE avec une gamine.

- Problème n°4 : Je suis parfaitement consciente qu'il s'agit d'un sombre connard (trompe allègrement sa femme, chez lui, sous les yeux de sa gosse) mais je ne parviens pas à m'en "détacher".

- Problème n°5 : Conséquence directe du problème précédent, je n'ai absolument aucun amour propre et zéro respect pour ce qu'il reste de ma pauvre personne.

- Problème n°6 : Grâce à ce nouveau vent de connerie, je suis entrain de perdre une personne qui m'est chère, car je la néglige au profit de l'autre.

- Problème n°7 : Bien que l'autre soit un gros nase irrespectueux et immature au possible, je passe du bon temps avec. Et pire, si l'on fait abstraction de son côté trompeur de femme invétéré, il regroupe à lui tout seul une large part des "critères" faisant selon moi d'un type une personne avec laquelle j'envisagerais éventuellement quelque chose.

Bien, résumons.

Je sais qu'il s'agit d'un connard, je sais que même s'il a un mini béguin pour moi en ce moment, il reste marié et père de famille. En gros, inaccessible. Donc Orthense mon petit.... tu vas me faire le plaisir de tourner cette PUTAIN de page à la con pendant qu'il en est encore temps et que les dégâts sont encore possibles à contenir et réparer.

Et bien voilà... cela fait au moins 10 fois que je m'auto serine avec ces belles paroles et pourtant... c'est avec fort peu de motivation que j'envisage le fait de lui proposer gentiment de retourner chez sa femme et d'aller se faire foutre.

POURQUOI? Pourquoi non de dieu de bordel de merde?

- Parce que je me sens effroyablement seule

- Parce que j'en ai marre de voir tout le monde nager dans le bonheur autour de moi

Putain... éclair de génie... Donne-t-il l'impression de nager dans le bonheur? Et celui d'avant, divorcé, c'est une conséquence directe du bonheur ça? Non, non et re-non... alors QUOI? finalement c'est peut-être moi qui suis plus proche de la vérité? Etre seule c'est peut-être ça la panacée ?

Oui, peut-être... sauf qu'on se sent quand même misérable, parfois. On se sent comme incomplet.

Que me manque-t-il alors? Une présence...? une personne à aimer? Une personne qui m'aime. C'est surtout ça qui me manque. Alors bien sûr, vous me direz que pour cela il y a les amis et la famille. Oui, sauf que c'est quand même pas tout à fait pareil...

Alors que faire? Il ne faut JAMAIS au grand jamais.... QUOI?

Là j'avoue que je suis sèche....

8 août 2010

Les mémoires et pensées d'Orthense Pélican

Bonjour à tous,

Bien que ce blog n'ait pour unique objectif que de me permettre de déverser l'ensemble des pensées qui m'empêchent de m'endormir le soir, je me permets tout de même vous saluer, cher public pour le moment fictif.

"Pour le moment fictif" car effectivement, comme toute personne normalement constituée (c'est à dire en bonne partie névrosée), une once de narcissisme me pousse à m'imaginer un jour des centaines de personnes lisant ce blog en se marrant copieusement tant elles se reconnaissent.

Alors voilà, je m'appelle Orthense Pélican et je me suis tout récemment décidée à ouvrir ce blog car je fais partie des nombreuses personnes dont le passe-temps favori (quoique malheureusement totalement incontrôlable) est de cogiter pendant des heures, tout particulièrement le soir au moment de s'endormir et ce au mépris des plus élémentaires règles stipulant clairement que la nuit est faite pour dormir et se reposer, non pour se torturer le cerveau.

Après m'être vite rendue à l'évidence s'agissant du fait que je n'ai absolument pas les capacités pour écrire un livre, je me suis dit que le concept du blog remplirait parfaitement l'objectif susmentionné. Ce blog devrait en effet (je l'espère) me permettre d'extérioriser et de mettre des mots sur tous les horribles évènements/sensations/anecdotes et réflexions qui hantent mes journées et mes soirées. 

Je compte aussi beaucoup sur ce lieu privilégié de communication unidirectionnelle pour ne pas avoir à me soucier de la teneur de mes propos, ni même de leur cohérence dans le temps. Il est fort probable que je prétende un jour bleu tandis que je clamerai haut et fort rouge le lendemain. Tout dépendra en fait de mon humeur. Il est en effet de rares journées au cours desquelles je suis extrêmement joyeuse et positive; les propos que je pourrais alors tenir risquent d'entrer en profonde contradiction avec la ligne directrice que suivra sans aucun doute ce blog : la râlerie, la complainte voire la critique.

Voilà, me voici donc en mesure de déclarer ouverte la catharis online d'Orthense Pélican.

A bientôt.

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